Voici la réalité brute : le G7 domine toujours avec un PIB de 51,45 billions de dollars contre 31,72 billions de dollars pour les BRICS+—environ 62 % de plus. Ça semble réglé ? Pas vraiment.
Le rebondissement ? Les nations BRICS croissent 2,5 fois plus vite. Le G7 ayant une croissance moyenne de seulement 1,7 % tandis que les BRICS+ avancent à 4,2 %. À ce rythme, faites le calcul—les BRICS pourraient rattraper leur retard dans 15 à 20 ans.
Les chiffres qui comptent
Répartition du G7 :
🇺🇸 États-Unis seulement : 30,34 T$ ( correspond essentiellement à l'ensemble des BRICS+)
🇩🇪 Allemagne : 4,92 billions de dollars
🇯🇵 Japon : 4,39 billions de $
Repos : ~$11.8T combiné
Répartition des BRICS+ :
🇨🇳 Chine : 19,53 T$ (65 % du bloc )
🇮🇳 Inde : 4,27 T$ à 6,5 % de croissance (bête absolue)
🇧🇷 Brésil : 2,31 T$
🇷🇺 Russie : 2,20 T$
Reste : 3,41 T$
Pourquoi cela importe
BRICS+ couvre maintenant 55% de la population mondiale—soit 4,5 milliards de personnes. Même une croissance par habitant plus lente se traduit par d'énormes gains de PIB. Pendant ce temps, le G7 vieillit (la population du Japon rétrécit littéralement), les marchés sont saturés, l'innovation ralentit.
La Chine avec ses 19,53 billions de dollars représente encore un poids lourd pour les BRICS, mais la trajectoire de croissance de 6,5 % de l'Inde est le véritable outsider. Si l'Inde maintient cela, combiné avec l'Indonésie (5,1 %), l'Éthiopie (6,5 %), et l'Égypte (4,1 %) qui rattrapent leur retard, l'élan du bloc est presque imparable.
La vraie question
Le G7 est-il toujours plus “avancé” ? Bien sûr. Meilleure technologie, marchés de capitaux plus profonds, avantage de la monnaie de réserve (dollar américain). Mais avancé ≠ en croissance. Le bloc BRICS est là où se concentre la véritable énergie économique : la fabrication, l'urbanisation, le boom de la consommation sont encore à leurs débuts.
Conclusion : La position de G7 est réelle mais fond. Si les BRICS maintiennent une croissance de plus de 4 % pendant une autre décennie alors que le G7 avance à 1,5-2 %, le passage n'est pas une question de si, mais de quand.
Voir l'original
Cette page peut inclure du contenu de tiers fourni à des fins d'information uniquement. Gate ne garantit ni l'exactitude ni la validité de ces contenus, n’endosse pas les opinions exprimées, et ne fournit aucun conseil financier ou professionnel à travers ces informations. Voir la section Avertissement pour plus de détails.
Qui gagne vraiment : bataille du PIB entre le G7 et les BRICS
Voici la réalité brute : le G7 domine toujours avec un PIB de 51,45 billions de dollars contre 31,72 billions de dollars pour les BRICS+—environ 62 % de plus. Ça semble réglé ? Pas vraiment.
Le rebondissement ? Les nations BRICS croissent 2,5 fois plus vite. Le G7 ayant une croissance moyenne de seulement 1,7 % tandis que les BRICS+ avancent à 4,2 %. À ce rythme, faites le calcul—les BRICS pourraient rattraper leur retard dans 15 à 20 ans.
Les chiffres qui comptent
Répartition du G7 :
Répartition des BRICS+ :
Pourquoi cela importe
BRICS+ couvre maintenant 55% de la population mondiale—soit 4,5 milliards de personnes. Même une croissance par habitant plus lente se traduit par d'énormes gains de PIB. Pendant ce temps, le G7 vieillit (la population du Japon rétrécit littéralement), les marchés sont saturés, l'innovation ralentit.
La Chine avec ses 19,53 billions de dollars représente encore un poids lourd pour les BRICS, mais la trajectoire de croissance de 6,5 % de l'Inde est le véritable outsider. Si l'Inde maintient cela, combiné avec l'Indonésie (5,1 %), l'Éthiopie (6,5 %), et l'Égypte (4,1 %) qui rattrapent leur retard, l'élan du bloc est presque imparable.
La vraie question
Le G7 est-il toujours plus “avancé” ? Bien sûr. Meilleure technologie, marchés de capitaux plus profonds, avantage de la monnaie de réserve (dollar américain). Mais avancé ≠ en croissance. Le bloc BRICS est là où se concentre la véritable énergie économique : la fabrication, l'urbanisation, le boom de la consommation sont encore à leurs débuts.
Conclusion : La position de G7 est réelle mais fond. Si les BRICS maintiennent une croissance de plus de 4 % pendant une autre décennie alors que le G7 avance à 1,5-2 %, le passage n'est pas une question de si, mais de quand.