La directrice financière d'OpenAI, Sarah Friar, a récemment clarifié de manière très claire : la société n’a aucunement l’intention de rechercher des filets de sécurité gouvernementaux. Cette déclaration intervient comme un démenti direct à ses remarques précédentes qui avaient suscité des spéculations sur un éventuel soutien fédéral.
Cette clarification est importante car elle indique la confiance d’OpenAI dans sa situation financière autonome — malgré les coûts astronomiques liés à la puissance de calcul que tout le monde sait qu’ils consomment. Le changement de ton de Friar suggère que l’entreprise souhaite éliminer toute idée selon laquelle elle compterait sur l’argent des contribuables comme plan de secours.
Le timing est également intéressant. Avec la montée en flèche des coûts d’infrastructure pour l’IA et la levée de fonds massive par ses concurrents, la position d’OpenAI selon laquelle « nous allons bien seuls » pourrait être une stratégie de positionnement. Ils ont peut-être sécurisé des sources de capitaux privées, ou jouent dur pour maintenir leurs attentes en matière de valorisation.
Voir l'original
Cette page peut inclure du contenu de tiers fourni à des fins d'information uniquement. Gate ne garantit ni l'exactitude ni la validité de ces contenus, n’endosse pas les opinions exprimées, et ne fournit aucun conseil financier ou professionnel à travers ces informations. Voir la section Avertissement pour plus de détails.
7 J'aime
Récompense
7
5
Reposter
Partager
Commentaire
0/400
BlockTalk
· Il y a 20h
L'argent brûle si rapidement, alors pourquoi se vanter ?
Voir l'originalRépondre0
NewDAOdreamer
· Il y a 20h
Ça suffit presque, qui y croirait ?
Voir l'originalRépondre0
SchrodingerWallet
· Il y a 20h
Tu pensais vraiment que dépenser de l'argent n'avait pas d'importance ? Regarde bien.
Voir l'originalRépondre0
DarkPoolWatcher
· Il y a 20h
Ça suffit, avec des résultats financiers aussi bons, pourquoi demander des subventions fédérales ?
Voir l'originalRépondre0
MetaReckt
· Il y a 20h
Bien sûr, ils ne manquent pas d'argent, ils ont beaucoup de capitaux derrière eux.
La directrice financière d'OpenAI, Sarah Friar, a récemment clarifié de manière très claire : la société n’a aucunement l’intention de rechercher des filets de sécurité gouvernementaux. Cette déclaration intervient comme un démenti direct à ses remarques précédentes qui avaient suscité des spéculations sur un éventuel soutien fédéral.
Cette clarification est importante car elle indique la confiance d’OpenAI dans sa situation financière autonome — malgré les coûts astronomiques liés à la puissance de calcul que tout le monde sait qu’ils consomment. Le changement de ton de Friar suggère que l’entreprise souhaite éliminer toute idée selon laquelle elle compterait sur l’argent des contribuables comme plan de secours.
Le timing est également intéressant. Avec la montée en flèche des coûts d’infrastructure pour l’IA et la levée de fonds massive par ses concurrents, la position d’OpenAI selon laquelle « nous allons bien seuls » pourrait être une stratégie de positionnement. Ils ont peut-être sécurisé des sources de capitaux privées, ou jouent dur pour maintenir leurs attentes en matière de valorisation.