La guerre tarifaire touche différents acteurs de manières complètement opposées. Les petites entreprises ? Elles sont absolument écrasées sous le poids de ces nouveaux coûts. Pendant ce temps, les grandes chaînes de distribution parviennent à absorber l'impact comme si c'était juste un autre élément de leur bilan.
Ce que nous voyons est un cas classique d'asymétrie économique. Les petites entreprises n'ont pas le luxe de vastes réseaux de chaîne d'approvisionnement ou du pouvoir de négociation pour compenser les frais de droits de douane. Elles sont contraintes soit d'absorber les coûts (au revoir, marges bénéficiaires )soit de les répercuter directement sur les clients (bonjour, perdant ainsi un avantage concurrentiel ).
Les grands détaillants, cependant ? C'est une histoire complètement différente. Ils ont des réserves de capital pour jouer le jeu de l'attente. Approvisionnement diversifié, pouvoir d'achat en gros, voire la capacité de subventionner temporairement les augmentations de prix à travers leurs gammes de produits. Le fardeau tarifaire existe aussi pour eux, mais il est réparti sur des opérations si massives que l'impact par unité devient gérable.
Cela crée une spirale dangereuse : les tarifs destinés à protéger les intérêts nationaux finissent par accélérer la consolidation du marché, évinçant les très petites entreprises qui forment l'épine dorsale des économies locales. L'ironie est assez forte.
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rugpull_ptsd
· Il y a 6h
les petits poissons se font toujours avoir bruh... peuvent pas lutter contre le gros argent
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tokenomics_truther
· Il y a 6h
Les petits se font défoncer pendant que les baleines nagent... un moment classique de Web3 franchement
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TokenomicsDetective
· Il y a 6h
Ils reviennent encore pour couper l'herbe à mouton. Les petits commerçants sont vraiment trop malheureux.
La guerre tarifaire touche différents acteurs de manières complètement opposées. Les petites entreprises ? Elles sont absolument écrasées sous le poids de ces nouveaux coûts. Pendant ce temps, les grandes chaînes de distribution parviennent à absorber l'impact comme si c'était juste un autre élément de leur bilan.
Ce que nous voyons est un cas classique d'asymétrie économique. Les petites entreprises n'ont pas le luxe de vastes réseaux de chaîne d'approvisionnement ou du pouvoir de négociation pour compenser les frais de droits de douane. Elles sont contraintes soit d'absorber les coûts (au revoir, marges bénéficiaires )soit de les répercuter directement sur les clients (bonjour, perdant ainsi un avantage concurrentiel ).
Les grands détaillants, cependant ? C'est une histoire complètement différente. Ils ont des réserves de capital pour jouer le jeu de l'attente. Approvisionnement diversifié, pouvoir d'achat en gros, voire la capacité de subventionner temporairement les augmentations de prix à travers leurs gammes de produits. Le fardeau tarifaire existe aussi pour eux, mais il est réparti sur des opérations si massives que l'impact par unité devient gérable.
Cela crée une spirale dangereuse : les tarifs destinés à protéger les intérêts nationaux finissent par accélérer la consolidation du marché, évinçant les très petites entreprises qui forment l'épine dorsale des économies locales. L'ironie est assez forte.