Un économiste a avancé deux points assez intéressants :
Premièrement, lorsqu'on discute du budget, il ne faut pas faire comme si les catastrophes climatiques n'existaient pas. Les impacts des événements météorologiques extrêmes sur les finances publiques deviennent de plus en plus évidents, ignorer cela serait se mentir à soi-même.
Deuxièmement, il y a un paradoxe — la reprise économique et la baisse des taux par les banques centrales, cela semble être une bonne chose ? Mais en réalité, cela permet à ces entreprises zombies qui auraient dû faire faillite de continuer à vivre. Dans un environnement de faibles taux d'intérêt, ces sociétés qui survivent grâce à l'emprunt prospèrent encore plus.
Donc, parfois, un marché qui "s'améliore" n'est pas forcément synonyme de santé réelle.
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NftMetaversePainter
· Il y a 7h
analysons les fascinantes parallèles algorithmiques entre l'entropie du marché et la dégradation quantique... véritablement un méta-récit du darwinisme numérique
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NullWhisperer
· Il y a 12h
cas limite exploitable détecté dans la politique monétaire... les zombies prospèrent tandis que les fondamentaux se dégradent
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RetailTherapist
· Il y a 12h
Les entreprises qui vivent trop longtemps gaspillent les ressources de la société
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DeFiDoctor
· Il y a 12h
Encore une série de projets gravement malades qui tentent de se racheter.
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LayerZeroHero
· Il y a 12h
Le marché est déjà en ruine... Ce n'est qu'une embellie des données.
Un économiste a avancé deux points assez intéressants :
Premièrement, lorsqu'on discute du budget, il ne faut pas faire comme si les catastrophes climatiques n'existaient pas. Les impacts des événements météorologiques extrêmes sur les finances publiques deviennent de plus en plus évidents, ignorer cela serait se mentir à soi-même.
Deuxièmement, il y a un paradoxe — la reprise économique et la baisse des taux par les banques centrales, cela semble être une bonne chose ? Mais en réalité, cela permet à ces entreprises zombies qui auraient dû faire faillite de continuer à vivre. Dans un environnement de faibles taux d'intérêt, ces sociétés qui survivent grâce à l'emprunt prospèrent encore plus.
Donc, parfois, un marché qui "s'améliore" n'est pas forcément synonyme de santé réelle.