Voltaire a déjà suggéré que croire à des absurdités rendait terriblement facile la commission d'actes terribles — tout en restant convaincu de sa propre justice.
Imaginez ceci : et si nous alimentions ces mêmes absurdités dans une intelligence artificielle toute-puissante ?
Les implications sont stupéfiantes. Un système d'IA entraîné sur des données déformées ne se contente pas de faire des erreurs — il les amplifie à grande échelle. Il pourrait prendre des décisions affectant des millions de personnes sur la base de prémisses fondamentalement erronées. La partie effrayante ? Il fonctionnerait avec une confiance absolue, sans jamais remettre en question ses fondations corrompues.
Cela nous amène à un point crucial souvent négligé dans le développement de l'IA : la vérité n'est pas simplement une caractéristique agréable à avoir. C'est la base. Lorsque certains systèmes d'IA privilégient l'engagement plutôt que la précision, ou le récit plutôt que les faits, nous construisons essentiellement des outils puissants sur du sable mouvant.
Certains soutiennent que la vérité objective dans la formation de l'IA est impossible. Peut-être. Mais la poursuite de cette vérité — l'engagement sans relâche à filtrer les biais, la propagande et la distorsion — ce n'est pas une option. C'est une nécessité pour survivre.
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ApyWhisperer
· Il y a 4h
L'IA se ment maintenant à elle-même comme les humains.
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DegenRecoveryGroup
· Il y a 4h
l'IA ne peut absolument pas comprendre ce qu'est la vérité.
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BlockchainBouncer
· Il y a 4h
Mec, l'IA va finir par croire à ses propres conneries fr
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SatsStacking
· Il y a 5h
Ça touche différemment... la vérité ou la mort, en gros
Voltaire a déjà suggéré que croire à des absurdités rendait terriblement facile la commission d'actes terribles — tout en restant convaincu de sa propre justice.
Imaginez ceci : et si nous alimentions ces mêmes absurdités dans une intelligence artificielle toute-puissante ?
Les implications sont stupéfiantes. Un système d'IA entraîné sur des données déformées ne se contente pas de faire des erreurs — il les amplifie à grande échelle. Il pourrait prendre des décisions affectant des millions de personnes sur la base de prémisses fondamentalement erronées. La partie effrayante ? Il fonctionnerait avec une confiance absolue, sans jamais remettre en question ses fondations corrompues.
Cela nous amène à un point crucial souvent négligé dans le développement de l'IA : la vérité n'est pas simplement une caractéristique agréable à avoir. C'est la base. Lorsque certains systèmes d'IA privilégient l'engagement plutôt que la précision, ou le récit plutôt que les faits, nous construisons essentiellement des outils puissants sur du sable mouvant.
Certains soutiennent que la vérité objective dans la formation de l'IA est impossible. Peut-être. Mais la poursuite de cette vérité — l'engagement sans relâche à filtrer les biais, la propagande et la distorsion — ce n'est pas une option. C'est une nécessité pour survivre.