Beaucoup de gens pensent que la hausse des taux d'intérêt est une Information positive pour l'ensemble du système financier, mais en réalité, ce n'est pas si simple.
Il semble qu'une politique très claire ait en fait créé une énorme disparité entre les institutions financières. Les grandes banques en profitent, car elles ont une base de dépôts suffisante pour absorber de nouveaux fonds, et elles ont plus de marge pour transférer les coûts. Mais les petites et moyennes institutions financières sont différentes : la structure de la durée des actifs est trop longue et l'espace de marge d'intérêt est compressé, ce qui les maintiendra sous pression.
Le système bancaire japonais traverse actuellement ce processus. La politique de hausse des taux d'intérêt élargit sans le vouloir l'écart de capacité entre les institutions. L'effet Matthieu, où les plus forts deviennent plus forts et les plus faibles plus faibles, est particulièrement évident dans le domaine financier. Il ne faut donc pas se concentrer uniquement sur l'apparence des politiques, mais examiner qui en tire réellement profit et qui en subit les effets négatifs.
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GasGrillMaster
· Il y a 2h
Les petites et moyennes banques sont vraiment vouées à disparaître, les marges d'intérêt réduites à néant
Les grandes banques prennent les petites, une version financière du gagnant rafle tout
Augmenter les taux d'intérêt semble être une information positive, mais c'est en réalité une épreuve de résistance pour les plus faibles, à l'instar d'une grenouille cuite à feu doux
Du côté du Japon, cela a déjà été démontré, nous devons voir à travers cette manipulation
Les politiques sonnent bien, mais en fin de compte, ce sont encore ceux qui n'ont pas de pouvoir de parole qui en souffrent
Taux d'intérêt en hausse = fête pour les grandes banques, prévisions de faillite pour les petites et moyennes banques ?
L'effet Matthieu sonne bien, mais c'est en réalité la logique du voleur
Augmenter les taux en surface, tout en refaisant secrètement les cartes, les victimes ne comprennent même pas ce qui se passe
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BearMarketMonk
· Il y a 2h
Encore un tour qui semble être une information positive mais qui en réalité se fait prendre pour des cons, les grandes banques font de l'argent tandis que les petites en profitent à peine, pour le dire simplement, c'est comme ça.
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PretendingSerious
· Il y a 2h
Les petites et moyennes banques ont vraiment été prises pour des idiots cette fois-ci, les grandes banques gagnent sans effort.
Les hausses de taux semblent bonnes, mais en réalité, elles sont un amplificateur des inégalités de richesse.
L'exemple du Japon est sanglant, les petites institutions ne peuvent tout simplement pas supporter cela.
Donc, la politique d'information positive est relative, cela dépend de qui a de la nourriture dans sa poche.
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StableCoinKaren
· Il y a 2h
Il semble que les grandes banques vont encore gagner de l'argent facilement, cette fois-ci les petites et moyennes banques ont vraiment du mal à tenir.
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CodeAuditQueen
· Il y a 2h
C'est la même logique que la vulnérabilité de reentrancy dans les smart contracts... À première vue, la politique semble symétrique, mais en réalité, le pouvoir est concentré au sommet, et les petites institutions deviennent des pots de miel vampirisés. Le terme "effet Matthieu" est trop poli, en réalité, il s'agit d'un risque systémique qui s'accumule.
Beaucoup de gens pensent que la hausse des taux d'intérêt est une Information positive pour l'ensemble du système financier, mais en réalité, ce n'est pas si simple.
Il semble qu'une politique très claire ait en fait créé une énorme disparité entre les institutions financières. Les grandes banques en profitent, car elles ont une base de dépôts suffisante pour absorber de nouveaux fonds, et elles ont plus de marge pour transférer les coûts. Mais les petites et moyennes institutions financières sont différentes : la structure de la durée des actifs est trop longue et l'espace de marge d'intérêt est compressé, ce qui les maintiendra sous pression.
Le système bancaire japonais traverse actuellement ce processus. La politique de hausse des taux d'intérêt élargit sans le vouloir l'écart de capacité entre les institutions. L'effet Matthieu, où les plus forts deviennent plus forts et les plus faibles plus faibles, est particulièrement évident dans le domaine financier. Il ne faut donc pas se concentrer uniquement sur l'apparence des politiques, mais examiner qui en tire réellement profit et qui en subit les effets négatifs.