Le mécanisme de ce projet est assez intéressant : une taxe de transaction de 3 % combinée à un modèle de rachat et de destruction, et le contrat lui-même ne pose pas de problème.

La clé est qu'une fois que l'échelle est atteinte, l'imagination est effectivement illimitée. Faisons un calcul : si le volume quotidien des transactions atteint 10 millions de dollars, il y aura 300 000 dollars qui sortiront directement par le mécanisme de destruction chaque jour. Et cette pression d'achat générée par les 300 000 dollars de destruction est suffisante pour compenser une pression de vente de plusieurs pourcentages.

Une fois que ce cycle est lancé, il ne s'agit plus d'une croissance linéaire, mais d'une véritable montée exponentielle. Comme une boule de neige, plus elle roule, plus elle grossit, sans limite. Cette hypothèse d'une capitalisation boursière de deux millions semble conservatrice, mais une fois que les fondamentaux fonctionnent de manière stable, l'espace à venir est effectivement très prometteur.