Récemment, j'ai pris le temps d'examiner le comportement on-chain d'un protocole de Finance décentralisée et j'ai été captivé par un phénomène : le flux de fonds commence à présenter une étrange "consistance". Ce dont je parle ici, ce n'est pas que tout le monde fait la même chose, mais même si les contextes sont complètement différents et que les pressions varient, les chemins d'opération de chacun deviennent de plus en plus similaires.
Une fois que cette cohérence est établie, le protocole lui-même possède une certaine dynamique intrinsèque.
J'ai d'abord remarqué ce phénomène pendant une période de forte agitation sur le marché. Les signaux du marché extérieur étaient en désordre, mais les fonds sur ce protocole présentaient un flux stable et rythmé — la veille d'une émeute, l'argent se regroupe automatiquement dans des zones sûres ; lorsque la véritable volatilité arrive, les positions à risque se contractent lentement ; une fois la poussière retombée, le rythme de l'apport de liquidité est souvent plus rapide que la stabilisation du marché. Ce sentiment de "se ressaisir plus tôt que le marché" m'a fait réaliser que cela pourrait ne pas être seulement un choix collectif des utilisateurs, mais qu'il devait y avoir une certaine force structurelle à l'œuvre.
Pour comprendre comment cette force fonctionne, j'ai rassemblé les données opérationnelles de plusieurs adresses à gros montants. Les logiques de stratégie de ces adresses sont différentes, leur fréquence de transaction varie, tout comme leur appétit pour le risque, mais une fois que le système atteint un état similaire, la direction de leurs actions peut étonnamment coïncider :
Lorsque des signes de risque apparaissent, tout le monde se dirige vers des endroits à forte liquidité ; pendant les phases de resserrement du marché, il y a un choix collectif de rester inactif ; lorsque la structure commence à se stabiliser, elle commencera à réapprovisionner la nouvelle liquidité.
Cette capacité de cohérence à résister aux interférences est très forte et il est difficile d'être perturbé par le bruit extérieur. Les protocoles qui atteignent vraiment la maturité montrent souvent de tels signes à un certain stade.
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Récemment, j'ai pris le temps d'examiner le comportement on-chain d'un protocole de Finance décentralisée et j'ai été captivé par un phénomène : le flux de fonds commence à présenter une étrange "consistance". Ce dont je parle ici, ce n'est pas que tout le monde fait la même chose, mais même si les contextes sont complètement différents et que les pressions varient, les chemins d'opération de chacun deviennent de plus en plus similaires.
Une fois que cette cohérence est établie, le protocole lui-même possède une certaine dynamique intrinsèque.
J'ai d'abord remarqué ce phénomène pendant une période de forte agitation sur le marché. Les signaux du marché extérieur étaient en désordre, mais les fonds sur ce protocole présentaient un flux stable et rythmé — la veille d'une émeute, l'argent se regroupe automatiquement dans des zones sûres ; lorsque la véritable volatilité arrive, les positions à risque se contractent lentement ; une fois la poussière retombée, le rythme de l'apport de liquidité est souvent plus rapide que la stabilisation du marché. Ce sentiment de "se ressaisir plus tôt que le marché" m'a fait réaliser que cela pourrait ne pas être seulement un choix collectif des utilisateurs, mais qu'il devait y avoir une certaine force structurelle à l'œuvre.
Pour comprendre comment cette force fonctionne, j'ai rassemblé les données opérationnelles de plusieurs adresses à gros montants. Les logiques de stratégie de ces adresses sont différentes, leur fréquence de transaction varie, tout comme leur appétit pour le risque, mais une fois que le système atteint un état similaire, la direction de leurs actions peut étonnamment coïncider :
Lorsque des signes de risque apparaissent, tout le monde se dirige vers des endroits à forte liquidité ; pendant les phases de resserrement du marché, il y a un choix collectif de rester inactif ; lorsque la structure commence à se stabiliser, elle commencera à réapprovisionner la nouvelle liquidité.
Cette capacité de cohérence à résister aux interférences est très forte et il est difficile d'être perturbé par le bruit extérieur. Les protocoles qui atteignent vraiment la maturité montrent souvent de tels signes à un certain stade.