Tokyo hausse des taux + Fed "faux relâchement" : le marché de Noël du Bitcoin confronté à un "été glacial et brûlant"
Mes frères, dans la matinée du 15 décembre, lorsque les traders asiatiques ont ouvert le graphique en chandeliers, le Bitcoin a subi un "coup de massue" en passant de 90 000 dollars à 85 616 dollars, une chute de 5 % qui a fait couler le sang dans les comptes à terme. Étrangement, à la même heure, l’or n’a baissé que d’un dollar, restant aussi stable qu’une montagne. Sans explosion ni mauvaises nouvelles, le coupable de ce "massacre silencieux" se cache dans une décision de la Banque du Japon. Et la même semaine, la Fed jouait encore la comédie du "relâchement de constipation" — en dix jours, elle a déversé 38 milliards, mais lors de la journée, le rachat inverse a pompé 13,5 milliards. C’est comme si tu buvais de la bière en se grattant la gorge pour vomir, mais tu n’as rien obtenu. Les deux grandes banques centrales jouent la même partition, poussant directement le Bitcoin dans un cul-de-sac de "glace et feu". 1. Le jeu schizophrène de la Fed : le relâchement est faux, le soutien est réel Commençons par la manœuvre spectaculaire de la Fed. Le gouvernement en panne depuis trois mois, la dette publique ayant explosé de 700 milliards de dollars, la liquidité du marché interbancaire réduite à un désert. Le coût d’emprunt des petites banques grimpe en flèche, les prêts aux entreprises réelles deviennent impossibles, et les salaires des citoyens ont diminué pendant trois mois — un vrai "champagne en haut, mégots en bas". La Fed clame qu’elle met fin à la QT (resserrement quantitatif), mais en réalité, elle est très honnête. Le 22 décembre, elle a déversé 6,8 milliards en une seule journée, totalisant 38 milliards en dix jours. Mais vous avez remarqué ? Pourquoi le marché ne bouge pas ? Parce que ces gamins laissent couler de l’eau d’un côté, puis la pompent de l’autre — le rachat inverse (ONRRP) a dépassé 13,5 milliards en une journée, pompant plus qu’elle ne déverse. Ce qui est encore plus audacieux, c’est le "Plan de financement à terme des banques (BTFP)", dont un stratégiste de Citi a directement démasqué : "C’est la veste du QE, ses effets sont exactement comme l’achat direct de dettes d’État." L’eau coule, mais pas dans la poche du peuple, tout est versé dans la piscine de Wall Street. Le S&P grimpe, l’or s’envole de 68 % en un an, et la stablecoin en chaîne gonfle jusqu’à 230 milliards — les munitions sont prêtes, mais la gâchette n’est pas dans la main des petits investisseurs. Ce jeu de "tire et pousse" repose sur une logique sous-jacente : la Fed doit à la fois soutenir le système financier pour éviter l’effondrement et contrôler les anticipations d’inflation ; elle doit donner du sang aux gros bonnets tout en évitant que l’inflation ne déborde dans les petites boutiques de la rue. Résultat ? La liquidité irrigue précisément l’arbre à argent des riches, tandis que ceux qui travaillent dur n’en voient pas la couleur. 2. La cloche de Tokyo : pourquoi le Bitcoin a-t-il été "mis hors-jeu" d’un seul coup ? Revenons à Tokyo. Le 19 décembre, la Banque du Japon a relevé ses taux à 0,75 %, un sommet en 30 ans. Ce léger ajustement de 0,25 point de pourcentage a-t-il fait plonger le Bitcoin dans la merde ? Parce que la "monstrueuse arbitrage du yen" a été réveillée. Depuis trente ans, le taux zéro japonais a créé une mauvaise habitude chez les hedge funds mondiaux : emprunter le yen presque gratuit → le convertir en dollars → acheter des actifs à haut rendement (obligations américaines, actions américaines, Bitcoin). Ce "moteur perpétuel" a généré des dizaines de billions de dollars. Mais dès que le yen monte, le jeu change instantanément : 1. Coût d’emprunt en hausse : le yen, qui était gratuit, doit maintenant payer des intérêts, l’arbitrage se réduit 2. Pression à l’appréciation du yen : ceux qui ont emprunté en yen pour acheter en dollars doivent maintenant vendre des actifs pour rembourser leur dette en yen 3. Le Bitcoin devient la "piscine de liquidité" en première ligne : trading 24h/24, profondeur de marché faible, levier élevé, à la liquidation, c’est lui qui trinque en premier Les données historiques sont alarmantes : après la hausse des taux de la BoJ en juillet 2024, le Bitcoin a chuté de 65 000 à 50 000 dollars en une semaine, une chute de 23 %. Lors des trois précédentes hausses de taux, la moyenne de retracement dépassait 20 %. Cette fois, une baisse de 5 % n’est qu’un apéritif. Ce qui fait mal, c’est que l’or n’a baissé que d’un dollar, alors que le Bitcoin s’est effondré de 5 %. Où est la "golden digital" promise ? Frères, l’époque a changé. 3. La "crise d’identité" du Bitcoin : de rebelle adolescent à marionnette de Wall Street Après l’approbation du ETF spot en janvier 2024, le Bitcoin a été intégré dans le système de Wall Street. BlackRock, Fidelity ont intégré le Bitcoin dans leurs portefeuilles, les fonds de pension et hedge funds y ont alloué des parts selon le modèle de risque traditionnel. Ce changement fatal, c’est que le Bitcoin est passé d’un actif refuge à un outil à haut risque Beta. Les chiffres parlent : • Corrélation avec le Nasdaq : de -0,2~0,2 avant 2020, elle a explosé à 0,80 en 2025 • Structure de volatilité : même mouvement que la tech, perte d’immunité face aux événements macro • Structure des détenteurs : les adresses de baleines réduisent leurs positions, les petites adresses croissent, les institutions accumulent lors des corrections Ce n’est pas une vente panique, mais une "transmission générationnelle". Les premières baleines ont cédé leurs jetons à la nouvelle génération d’institutions, Bitcoin se transforme de "rebelle contre la fiat" en "levier de liquidité de Wall Street". Les données on-chain montrent que 230 milliards de stablecoins sont en attente sur les exchanges, mais personne n’ose bouger. Tout le monde sait : le Bitcoin est la pièce la plus sensible et fragile de la chaîne de liquidité mondiale. La salle de réunion de Tokyo peut décider en un instant de votre solde. 4. La fête de Noël en suspens : cette année pourrait briser le mythe du "toujours en hausse" Depuis 1969, la tendance de fin d’année (les 5 derniers jours + les 2 premiers) du S&P a en moyenne +1,3 %, et le Bitcoin fête chaque année. Mais cette année, la règle pourrait vraiment être brisée. Le double coup dur est déjà en place : • La Fed : "faux relâchement" continu, signaux politiques confus. Comme le montre Futu, quand la Fed joue à la fois la corde et le marteau, les lois de l’histoire échouent souvent • La Japon : a déjà laissé entendre une hausse modérée en 2026, la pression de clôture des arbitrages ressemble à une épée de Damoclès suspendue, prête à déclencher une nouvelle correction de 15 % Deux scénarios : Version douce : la Fed achète 400 milliards de dettes chaque mois, comblant le déficit de liquidité. Les actifs risqués respirent, le Bitcoin grimpe doucement vers 93 000, mais ne s’attendez pas à une fête. Version agressive : la Fed déverse plus de 600 milliards par mois, inondant tout. Wall Street fête, le Bitcoin suit la hausse des actions. Mais le prix à payer, c’est une inflation explosive, une crédibilité en faillite, et une puissance de la hausse japonaise encore plus grande. Les experts du marché crypto pensent que c’est probablement une "marché de patients". L’indice de peur et de cupidité est dans la zone de peur extrême à 25, le sentiment du marché est comme une ville malade, tous au chaud sous la couette. 89 000 dollars est une résistance clé, si on la tient, on peut viser 93 000 ; si on ne la tient pas, une nouvelle hausse de la Fed pourrait faire tomber le Bitcoin à 80 000. 5. Le guide pratique pour les frères Court terme (fin décembre - début janvier) : • Jouez la prudence : la tendance de Noël est très incertaine, ne dépassez pas 20 % en position à terme • Surveillez deux indicateurs : le solde du rachat inverse de la Fed + le ratio de réserves bancaires, une baisse du premier et une hausse du second annoncent un QE4 doux • Mettez en place des stops : si 89 000 ne tient pas, vendez à 85 000 ; si ça tient, vous pouvez prendre une petite position, objectif 93 000 Moyen terme (Q1 2026) : • Se couvrir contre le risque japonais : surveillez les réunions de la BoJ (mars, juin), réduisez vos positions une semaine avant • Suivez l’évolution des stablecoins : 230 milliards, c’est du "bois sec", en attendant que la SEC nomme un nouveau responsable ou que Trump lâche une bonne nouvelle • Attention à la corrélation : ne considérez plus le Bitcoin comme un actif refuge, il est lié au Nasdaq, si le marché américain chute, il ne pourra pas s’échapper Long terme : • La QE4 finira par arriver : sous la pression de la récession, la Fed devra acheter des obligations d’État, c’est une question de temps. C’est la dernière bonne nouvelle pour le Bitcoin, mais le chemin sera très tortueux. Conclusion : dans la transition entre vieux et nouveau scénario, survivre est la clé Mes frères, le Bitcoin n’a rien fait de mal, il paie simplement le prix de son "processus d’institutionnalisation". Avant, on se contentait de suivre les données on-chain ; maintenant, il faut aussi surveiller Tokyo, Washington et Wall Street. Ce Noël, plutôt que de parier sur la hausse ou la baisse, réfléchissez : quand la pompe à feu et la pompe à eau de la Fed fonctionnent en même temps, quand la hausse des taux à Tokyo peut faire disparaître votre richesse en un instant, vos actifs sont-ils dans la piscine ou dans le désert ? L’histoire ne se répète pas simplement, mais elle se ressemble toujours de façon étonnante. La QE de 2008 a créé le Bitcoin, la QE3 de 2020 a lancé le marché haussier institutionnel. La "faux relâchement" actuel, bien qu’immonde, a une direction claire — la logique fondamentale du système financier s’est effondrée, les règles du jeu traditionnelles se brisent. Dans cette confusion de transition, certains éléments obstinés seront réévalués. Il faut descendre pour voir le prochain cycle. Les frères, quand pensez-vous que la prochaine hausse de la BoJ aura lieu ? Le Bitcoin tombera-t-il sous 80 000 dollars ? Laissez votre avis dans les commentaires ! Si vous trouvez cette analyse fiable, likez + partagez pour que plus de frères comprennent cette grande partie d’échecs ! Pour recevoir en temps réel les données on-chain et les alertes sur la réunion de la BoJ, n’oubliez pas de suivre le "Chasseur de crypto" et de laisser un message, on continuera à déshabiller les banques centrales mondiales dans le prochain épisode ! #
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Tokyo hausse des taux + Fed "faux relâchement" : le marché de Noël du Bitcoin confronté à un "été glacial et brûlant"
Mes frères, dans la matinée du 15 décembre, lorsque les traders asiatiques ont ouvert le graphique en chandeliers, le Bitcoin a subi un "coup de massue" en passant de 90 000 dollars à 85 616 dollars, une chute de 5 % qui a fait couler le sang dans les comptes à terme. Étrangement, à la même heure, l’or n’a baissé que d’un dollar, restant aussi stable qu’une montagne. Sans explosion ni mauvaises nouvelles, le coupable de ce "massacre silencieux" se cache dans une décision de la Banque du Japon.
Et la même semaine, la Fed jouait encore la comédie du "relâchement de constipation" — en dix jours, elle a déversé 38 milliards, mais lors de la journée, le rachat inverse a pompé 13,5 milliards. C’est comme si tu buvais de la bière en se grattant la gorge pour vomir, mais tu n’as rien obtenu. Les deux grandes banques centrales jouent la même partition, poussant directement le Bitcoin dans un cul-de-sac de "glace et feu".
1. Le jeu schizophrène de la Fed : le relâchement est faux, le soutien est réel
Commençons par la manœuvre spectaculaire de la Fed. Le gouvernement en panne depuis trois mois, la dette publique ayant explosé de 700 milliards de dollars, la liquidité du marché interbancaire réduite à un désert. Le coût d’emprunt des petites banques grimpe en flèche, les prêts aux entreprises réelles deviennent impossibles, et les salaires des citoyens ont diminué pendant trois mois — un vrai "champagne en haut, mégots en bas".
La Fed clame qu’elle met fin à la QT (resserrement quantitatif), mais en réalité, elle est très honnête. Le 22 décembre, elle a déversé 6,8 milliards en une seule journée, totalisant 38 milliards en dix jours. Mais vous avez remarqué ? Pourquoi le marché ne bouge pas ? Parce que ces gamins laissent couler de l’eau d’un côté, puis la pompent de l’autre — le rachat inverse (ONRRP) a dépassé 13,5 milliards en une journée, pompant plus qu’elle ne déverse.
Ce qui est encore plus audacieux, c’est le "Plan de financement à terme des banques (BTFP)", dont un stratégiste de Citi a directement démasqué : "C’est la veste du QE, ses effets sont exactement comme l’achat direct de dettes d’État." L’eau coule, mais pas dans la poche du peuple, tout est versé dans la piscine de Wall Street. Le S&P grimpe, l’or s’envole de 68 % en un an, et la stablecoin en chaîne gonfle jusqu’à 230 milliards — les munitions sont prêtes, mais la gâchette n’est pas dans la main des petits investisseurs.
Ce jeu de "tire et pousse" repose sur une logique sous-jacente : la Fed doit à la fois soutenir le système financier pour éviter l’effondrement et contrôler les anticipations d’inflation ; elle doit donner du sang aux gros bonnets tout en évitant que l’inflation ne déborde dans les petites boutiques de la rue. Résultat ? La liquidité irrigue précisément l’arbre à argent des riches, tandis que ceux qui travaillent dur n’en voient pas la couleur.
2. La cloche de Tokyo : pourquoi le Bitcoin a-t-il été "mis hors-jeu" d’un seul coup ?
Revenons à Tokyo. Le 19 décembre, la Banque du Japon a relevé ses taux à 0,75 %, un sommet en 30 ans. Ce léger ajustement de 0,25 point de pourcentage a-t-il fait plonger le Bitcoin dans la merde ?
Parce que la "monstrueuse arbitrage du yen" a été réveillée.
Depuis trente ans, le taux zéro japonais a créé une mauvaise habitude chez les hedge funds mondiaux : emprunter le yen presque gratuit → le convertir en dollars → acheter des actifs à haut rendement (obligations américaines, actions américaines, Bitcoin). Ce "moteur perpétuel" a généré des dizaines de billions de dollars. Mais dès que le yen monte, le jeu change instantanément :
1. Coût d’emprunt en hausse : le yen, qui était gratuit, doit maintenant payer des intérêts, l’arbitrage se réduit
2. Pression à l’appréciation du yen : ceux qui ont emprunté en yen pour acheter en dollars doivent maintenant vendre des actifs pour rembourser leur dette en yen
3. Le Bitcoin devient la "piscine de liquidité" en première ligne : trading 24h/24, profondeur de marché faible, levier élevé, à la liquidation, c’est lui qui trinque en premier
Les données historiques sont alarmantes : après la hausse des taux de la BoJ en juillet 2024, le Bitcoin a chuté de 65 000 à 50 000 dollars en une semaine, une chute de 23 %. Lors des trois précédentes hausses de taux, la moyenne de retracement dépassait 20 %. Cette fois, une baisse de 5 % n’est qu’un apéritif.
Ce qui fait mal, c’est que l’or n’a baissé que d’un dollar, alors que le Bitcoin s’est effondré de 5 %. Où est la "golden digital" promise ? Frères, l’époque a changé.
3. La "crise d’identité" du Bitcoin : de rebelle adolescent à marionnette de Wall Street
Après l’approbation du ETF spot en janvier 2024, le Bitcoin a été intégré dans le système de Wall Street. BlackRock, Fidelity ont intégré le Bitcoin dans leurs portefeuilles, les fonds de pension et hedge funds y ont alloué des parts selon le modèle de risque traditionnel.
Ce changement fatal, c’est que le Bitcoin est passé d’un actif refuge à un outil à haut risque Beta.
Les chiffres parlent :
• Corrélation avec le Nasdaq : de -0,2~0,2 avant 2020, elle a explosé à 0,80 en 2025
• Structure de volatilité : même mouvement que la tech, perte d’immunité face aux événements macro
• Structure des détenteurs : les adresses de baleines réduisent leurs positions, les petites adresses croissent, les institutions accumulent lors des corrections
Ce n’est pas une vente panique, mais une "transmission générationnelle". Les premières baleines ont cédé leurs jetons à la nouvelle génération d’institutions, Bitcoin se transforme de "rebelle contre la fiat" en "levier de liquidité de Wall Street".
Les données on-chain montrent que 230 milliards de stablecoins sont en attente sur les exchanges, mais personne n’ose bouger. Tout le monde sait : le Bitcoin est la pièce la plus sensible et fragile de la chaîne de liquidité mondiale. La salle de réunion de Tokyo peut décider en un instant de votre solde.
4. La fête de Noël en suspens : cette année pourrait briser le mythe du "toujours en hausse"
Depuis 1969, la tendance de fin d’année (les 5 derniers jours + les 2 premiers) du S&P a en moyenne +1,3 %, et le Bitcoin fête chaque année. Mais cette année, la règle pourrait vraiment être brisée.
Le double coup dur est déjà en place :
• La Fed : "faux relâchement" continu, signaux politiques confus. Comme le montre Futu, quand la Fed joue à la fois la corde et le marteau, les lois de l’histoire échouent souvent
• La Japon : a déjà laissé entendre une hausse modérée en 2026, la pression de clôture des arbitrages ressemble à une épée de Damoclès suspendue, prête à déclencher une nouvelle correction de 15 %
Deux scénarios :
Version douce : la Fed achète 400 milliards de dettes chaque mois, comblant le déficit de liquidité. Les actifs risqués respirent, le Bitcoin grimpe doucement vers 93 000, mais ne s’attendez pas à une fête.
Version agressive : la Fed déverse plus de 600 milliards par mois, inondant tout. Wall Street fête, le Bitcoin suit la hausse des actions. Mais le prix à payer, c’est une inflation explosive, une crédibilité en faillite, et une puissance de la hausse japonaise encore plus grande.
Les experts du marché crypto pensent que c’est probablement une "marché de patients". L’indice de peur et de cupidité est dans la zone de peur extrême à 25, le sentiment du marché est comme une ville malade, tous au chaud sous la couette. 89 000 dollars est une résistance clé, si on la tient, on peut viser 93 000 ; si on ne la tient pas, une nouvelle hausse de la Fed pourrait faire tomber le Bitcoin à 80 000.
5. Le guide pratique pour les frères
Court terme (fin décembre - début janvier) :
• Jouez la prudence : la tendance de Noël est très incertaine, ne dépassez pas 20 % en position à terme
• Surveillez deux indicateurs : le solde du rachat inverse de la Fed + le ratio de réserves bancaires, une baisse du premier et une hausse du second annoncent un QE4 doux
• Mettez en place des stops : si 89 000 ne tient pas, vendez à 85 000 ; si ça tient, vous pouvez prendre une petite position, objectif 93 000
Moyen terme (Q1 2026) :
• Se couvrir contre le risque japonais : surveillez les réunions de la BoJ (mars, juin), réduisez vos positions une semaine avant
• Suivez l’évolution des stablecoins : 230 milliards, c’est du "bois sec", en attendant que la SEC nomme un nouveau responsable ou que Trump lâche une bonne nouvelle
• Attention à la corrélation : ne considérez plus le Bitcoin comme un actif refuge, il est lié au Nasdaq, si le marché américain chute, il ne pourra pas s’échapper
Long terme :
• La QE4 finira par arriver : sous la pression de la récession, la Fed devra acheter des obligations d’État, c’est une question de temps. C’est la dernière bonne nouvelle pour le Bitcoin, mais le chemin sera très tortueux.
Conclusion : dans la transition entre vieux et nouveau scénario, survivre est la clé
Mes frères, le Bitcoin n’a rien fait de mal, il paie simplement le prix de son "processus d’institutionnalisation". Avant, on se contentait de suivre les données on-chain ; maintenant, il faut aussi surveiller Tokyo, Washington et Wall Street.
Ce Noël, plutôt que de parier sur la hausse ou la baisse, réfléchissez : quand la pompe à feu et la pompe à eau de la Fed fonctionnent en même temps, quand la hausse des taux à Tokyo peut faire disparaître votre richesse en un instant, vos actifs sont-ils dans la piscine ou dans le désert ?
L’histoire ne se répète pas simplement, mais elle se ressemble toujours de façon étonnante. La QE de 2008 a créé le Bitcoin, la QE3 de 2020 a lancé le marché haussier institutionnel. La "faux relâchement" actuel, bien qu’immonde, a une direction claire — la logique fondamentale du système financier s’est effondrée, les règles du jeu traditionnelles se brisent. Dans cette confusion de transition, certains éléments obstinés seront réévalués.
Il faut descendre pour voir le prochain cycle.
Les frères, quand pensez-vous que la prochaine hausse de la BoJ aura lieu ? Le Bitcoin tombera-t-il sous 80 000 dollars ? Laissez votre avis dans les commentaires ! Si vous trouvez cette analyse fiable, likez + partagez pour que plus de frères comprennent cette grande partie d’échecs ! Pour recevoir en temps réel les données on-chain et les alertes sur la réunion de la BoJ, n’oubliez pas de suivre le "Chasseur de crypto" et de laisser un message, on continuera à déshabiller les banques centrales mondiales dans le prochain épisode ! #