Merck (MRK) a maintenu des positions au-dessus de ses moyennes mobiles à 50 jours et 200 jours de manière constante depuis novembre, reflétant une dynamique positive persistante sur le marché. Les indicateurs à court terme comme la moyenne à 50 jours et les références à plus long terme comme la moyenne à 200 jours suggèrent toutes deux que l’action surperforme ses niveaux de référence intermédiaires et à long terme. Bien que ce schéma présente un signal technique encourageant, il devient essentiel de comprendre les moteurs fondamentaux de l’entreprise pour prendre des décisions d’investissement éclairées.
Les catalyseurs récents ont propulsé l’action à la hausse, notamment les avancées dans le pipeline et l’accord de 9,2 milliards de dollars pour absorber Cidara Therapeutics (CDTX). Cette démarche stratégique intègre CD388, un candidat antiviral à longue durée d’action, innovant et de première classe, dans le portefeuille de Merck. Actuellement en phase avancée de test pour la prévention de la grippe saisonnière chez les populations vulnérables, CD388 représente une diversification significative pour le géant pharmaceutique.
La machine à croissance Keytruda : moteur de croissance
Keytruda est le générateur de revenus le plus puissant de Merck, représentant plus de la moitié des ventes pharmaceutiques de l’entreprise. Ce blockbuster en oncologie a été la force principale derrière une croissance régulière des revenus sur plusieurs années. Au cours des neuf premiers mois de 2025, Keytruda a généré 23,3 milliards de dollars de ventes, soit une augmentation de 8 % en glissement annuel, témoignant de sa résilience sur des marchés concurrentiels.
L’expansion du médicament dans les traitements précoces du cancer, notamment le carcinome non à petites cellules du poumon à un stade précoce, continue de stimuler la croissance. La force simultanée dans les indications métastatiques avancées donne un élan supplémentaire. La direction prévoit que cette trajectoire se poursuivra, le cancer du poumon à un stade précoce représentant une opportunité importante de pénétration du marché.
Les combinaisons stratégiques constituent la stratégie de Merck pour maintenir la domination de Keytruda. Des associations expérimentales avec des inhibiteurs de LAG3 et CTLA-4 sont à l’étude. Plus notable encore, une collaboration avec Moderna (MRNA) fait progresser l’intismeran autogène (V940/mRNA-4157), un vaccin contre le cancer personnalisé à base d’ARNm, associé à Keytruda, dans des évaluations pivot en phase III pour le traitement adjuvant du NSCLC et du mélanome.
L’approbation par la FDA en septembre 2025 de Keytruda Qlex — une formulation sous-cutanée nécessitant une administration nettement plus rapide que la voie intraveineuse — introduit une stratégie défensive. Avec l’expiration du brevet pour la version intraveineuse en 2028, cette variante sous-cutanée bénéficie de prolongations de brevet qui étendent considérablement l’exclusivité au-delà de cette date.
Expansion de l’arsenal : nouveaux produits en progression
Le portefeuille en oncologie de Merck ne se limite pas à Keytruda. Welireg, le Lynparza en partenariat avec AstraZeneca, et le Lenvima en partenariat avec Eisai contribuent tous de manière significative aux revenus pharmaceutiques.
Le pipeline global de l’entreprise a connu une expansion remarquable. Depuis 2021, le nombre de candidats en phase III a presque triplé, soutenu par le développement interne et des opérations stratégiques de fusions-acquisitions. Cela positionne Merck pour lancer environ 20 nouvelles options thérapeutiques dans les années à venir, avec de nombreux candidats ayant un potentiel de blockbuster.
Deux lancements récents illustrent cette dynamique. Capvaxive, un vaccin conjugué antipneumococcique 21-valent, et Winrevair, destiné à l’hypertension artérielle pulmonaire, ont tous deux montré de solides performances commerciales avec un potentiel de générer des revenus substantiels à long terme.
Enflonsia (clesrovimab), l’anticorps RSV de Merck, a reçu l’approbation aux États-Unis en juin 2025 et est actuellement en revue par l’Union européenne. Une thérapie combinée de doravirine et islatravir pour le traitement du VIH attend une décision réglementaire aux États-Unis, avec avril 2026 comme échéance prévue.
Parmi les autres candidats en phase avancée, on trouve enlicitide decanoate/MK-0616, un inhibiteur oral de PCSK9 pour l’hypercholestérolémie, tulisokibart pour la colite ulcéreuse, et des conjugués anticorps-médicaments développés en collaboration avec Daiichi Sankyo.
L’acquisition de 1 milliard de dollars de Verona en 2025 a introduit Ohtuvayre, une thérapie de maintenance différenciée de première classe pour la maladie pulmonaire obstructive chronique, avec un potentiel commercial de plusieurs milliards de dollars. Cette acquisition renforce considérablement la division cardio-pulmonaire, et l’adoption commerciale a commencé de manière positive.
Portefeuille vaccinal sous pression
Gardasil, le deuxième plus grand produit de Merck, a rencontré des vents contraires avec une baisse de 40 % des ventes au cours des neuf premiers mois de 2025. Le ralentissement économique en Chine a créé des conditions de marché faibles, laissant un excès d’inventaire chez le partenaire de commercialisation Zhifei. En conséquence, Merck a suspendu temporairement les expéditions de Gardasil vers la Chine, sans reprise prévue d’ici la fin 2025, ce qui exerce une pression supplémentaire sur les revenus.
La demande japonaise pour le vaccin s’est également affaiblie. D’autres produits vaccins, tels que Proquad, M-M-R II, Varivax, Rotateq et Pneumovax 23, ont connu des contractions de ventes durant la même période. La performance des produits pour le diabète s’est détériorée, et la concurrence générique continue d’éroder plusieurs médicaments établis.
Menaces concurrentielles et inquiétudes sur le déclin des brevets
La concentration des revenus autour de Keytruda crée une vulnérabilité. Bien qu’indéniablement un actif clé, cette dépendance soulève des questions sur la capacité de Merck à faire progresser ses segments non-oncologiques avant la perte d’exclusivité de Keytruda en 2028.
Les défis concurrentiels s’accumulent. Les inhibiteurs dual PD-1/VEGF, comme $10 SMMT( ivonescimab de Summit Therapeutics, ciblent plusieurs voies simultanément, répondant aux limitations des thérapies à mécanisme unique comme Keytruda. Une étude de phase III en Chine a démontré la supériorité d’ivonescimab face à Keytruda dans les cas de NSCLC localement avancé ou métastatique. Summit prévoit qu’ivonescimab pourrait s’établir comme la nouvelle norme de soins dans plusieurs applications du NSCLC.
Merck développe également son propre inhibiteur PD-1/VEGF pour faire face à cette évolution concurrentielle. De plus, Pfizer a obtenu les droits exclusifs mondiaux hors Chine pour SSGJ-707, un autre inhibiteur dual PD-1/VEGF licencié auprès de 3SBio en Chine, fragmentant encore davantage le paysage concurrentiel.
Indicateurs de valorisation et mouvements des estimations
Depuis le début de l’année, les actions MRK ont diminué de 0,5 %, sous-performant la progression de 14,1 % de l’industrie pharmaceutique. L’action a également été en retrait par rapport à son secteur et au S&P 500.
Du point de vue de la valorisation, Merck offre un prix relatif attractif. Avec un ratio cours/bénéfice attendu de 11,21, il se négocie bien en dessous de la moyenne sectorielle de 16,68 et de sa médiane sur cinq ans de 12,52, ce qui suggère une possible sous-évaluation par rapport à ses pairs.
Les estimations des analystes pour le bénéfice 2025 ont légèrement augmenté, passant de 8,94 $ à 8,98 $ par action au cours des 60 derniers jours. Cependant, celles pour 2026 ont diminué, passant de 9,54 $ à 8,81 $ par action, indiquant une certaine détérioration des attentes à plus long terme.
La voie prudente à suivre
Merck détient l’un des médicaments les plus rentables de l’industrie pharmaceutique, générant des revenus annuels de plusieurs milliards de dollars. Bien que Keytruda fasse face à l’expiration de son brevet en 2028, ses ventes devraient rester robustes jusqu’à cette échéance.
Capvaxive et Winrevair ont été lancés avec succès, avec un potentiel de revenus significatif à venir. L’approbation de Keytruda Qlex atténue certains effets négatifs liés à la perte d’exclusivité en 2028. Des acquisitions récentes comme Ohtuvayre positionnent l’entreprise pour combler le potentiel de revenus créé par la transition de Keytruda.
La division Santé Animale contribue également de manière importante à la croissance du chiffre d’affaires grâce à des taux de croissance supérieurs au marché.
Cependant, des obstacles importants subsistent. Les difficultés de Gardasil en Chine, le potentiel de substitution de Keytruda par de nouvelles thérapies, et la pression des génériques sur les produits historiques compliquent le tableau. Ces défis soulèvent légitimement des questions sur la capacité de Merck à exécuter efficacement durant la période critique de déclin de brevet de Keytruda.
Malgré une force technique récente et une valorisation attrayante, une approche prudente semble justifiée. Attendre des preuves plus concrètes d’une dynamique de croissance durable et d’une trajectoire de rentabilité paraît judicieux. Il est conseillé aux observateurs de rester vigilants plutôt que de s’engager immédiatement, afin de laisser émerger une image plus claire de la pérennité à long terme. Merck maintient une note Zacks #3 )Hold( reflétant cette perspective équilibrée.
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L'action Merck reste au-dessus des moyennes mobiles clés depuis des semaines — Quelle est la véritable histoire ?
Merck (MRK) a maintenu des positions au-dessus de ses moyennes mobiles à 50 jours et 200 jours de manière constante depuis novembre, reflétant une dynamique positive persistante sur le marché. Les indicateurs à court terme comme la moyenne à 50 jours et les références à plus long terme comme la moyenne à 200 jours suggèrent toutes deux que l’action surperforme ses niveaux de référence intermédiaires et à long terme. Bien que ce schéma présente un signal technique encourageant, il devient essentiel de comprendre les moteurs fondamentaux de l’entreprise pour prendre des décisions d’investissement éclairées.
Les catalyseurs récents ont propulsé l’action à la hausse, notamment les avancées dans le pipeline et l’accord de 9,2 milliards de dollars pour absorber Cidara Therapeutics (CDTX). Cette démarche stratégique intègre CD388, un candidat antiviral à longue durée d’action, innovant et de première classe, dans le portefeuille de Merck. Actuellement en phase avancée de test pour la prévention de la grippe saisonnière chez les populations vulnérables, CD388 représente une diversification significative pour le géant pharmaceutique.
La machine à croissance Keytruda : moteur de croissance
Keytruda est le générateur de revenus le plus puissant de Merck, représentant plus de la moitié des ventes pharmaceutiques de l’entreprise. Ce blockbuster en oncologie a été la force principale derrière une croissance régulière des revenus sur plusieurs années. Au cours des neuf premiers mois de 2025, Keytruda a généré 23,3 milliards de dollars de ventes, soit une augmentation de 8 % en glissement annuel, témoignant de sa résilience sur des marchés concurrentiels.
L’expansion du médicament dans les traitements précoces du cancer, notamment le carcinome non à petites cellules du poumon à un stade précoce, continue de stimuler la croissance. La force simultanée dans les indications métastatiques avancées donne un élan supplémentaire. La direction prévoit que cette trajectoire se poursuivra, le cancer du poumon à un stade précoce représentant une opportunité importante de pénétration du marché.
Les combinaisons stratégiques constituent la stratégie de Merck pour maintenir la domination de Keytruda. Des associations expérimentales avec des inhibiteurs de LAG3 et CTLA-4 sont à l’étude. Plus notable encore, une collaboration avec Moderna (MRNA) fait progresser l’intismeran autogène (V940/mRNA-4157), un vaccin contre le cancer personnalisé à base d’ARNm, associé à Keytruda, dans des évaluations pivot en phase III pour le traitement adjuvant du NSCLC et du mélanome.
L’approbation par la FDA en septembre 2025 de Keytruda Qlex — une formulation sous-cutanée nécessitant une administration nettement plus rapide que la voie intraveineuse — introduit une stratégie défensive. Avec l’expiration du brevet pour la version intraveineuse en 2028, cette variante sous-cutanée bénéficie de prolongations de brevet qui étendent considérablement l’exclusivité au-delà de cette date.
Expansion de l’arsenal : nouveaux produits en progression
Le portefeuille en oncologie de Merck ne se limite pas à Keytruda. Welireg, le Lynparza en partenariat avec AstraZeneca, et le Lenvima en partenariat avec Eisai contribuent tous de manière significative aux revenus pharmaceutiques.
Le pipeline global de l’entreprise a connu une expansion remarquable. Depuis 2021, le nombre de candidats en phase III a presque triplé, soutenu par le développement interne et des opérations stratégiques de fusions-acquisitions. Cela positionne Merck pour lancer environ 20 nouvelles options thérapeutiques dans les années à venir, avec de nombreux candidats ayant un potentiel de blockbuster.
Deux lancements récents illustrent cette dynamique. Capvaxive, un vaccin conjugué antipneumococcique 21-valent, et Winrevair, destiné à l’hypertension artérielle pulmonaire, ont tous deux montré de solides performances commerciales avec un potentiel de générer des revenus substantiels à long terme.
Enflonsia (clesrovimab), l’anticorps RSV de Merck, a reçu l’approbation aux États-Unis en juin 2025 et est actuellement en revue par l’Union européenne. Une thérapie combinée de doravirine et islatravir pour le traitement du VIH attend une décision réglementaire aux États-Unis, avec avril 2026 comme échéance prévue.
Parmi les autres candidats en phase avancée, on trouve enlicitide decanoate/MK-0616, un inhibiteur oral de PCSK9 pour l’hypercholestérolémie, tulisokibart pour la colite ulcéreuse, et des conjugués anticorps-médicaments développés en collaboration avec Daiichi Sankyo.
L’acquisition de 1 milliard de dollars de Verona en 2025 a introduit Ohtuvayre, une thérapie de maintenance différenciée de première classe pour la maladie pulmonaire obstructive chronique, avec un potentiel commercial de plusieurs milliards de dollars. Cette acquisition renforce considérablement la division cardio-pulmonaire, et l’adoption commerciale a commencé de manière positive.
Portefeuille vaccinal sous pression
Gardasil, le deuxième plus grand produit de Merck, a rencontré des vents contraires avec une baisse de 40 % des ventes au cours des neuf premiers mois de 2025. Le ralentissement économique en Chine a créé des conditions de marché faibles, laissant un excès d’inventaire chez le partenaire de commercialisation Zhifei. En conséquence, Merck a suspendu temporairement les expéditions de Gardasil vers la Chine, sans reprise prévue d’ici la fin 2025, ce qui exerce une pression supplémentaire sur les revenus.
La demande japonaise pour le vaccin s’est également affaiblie. D’autres produits vaccins, tels que Proquad, M-M-R II, Varivax, Rotateq et Pneumovax 23, ont connu des contractions de ventes durant la même période. La performance des produits pour le diabète s’est détériorée, et la concurrence générique continue d’éroder plusieurs médicaments établis.
Menaces concurrentielles et inquiétudes sur le déclin des brevets
La concentration des revenus autour de Keytruda crée une vulnérabilité. Bien qu’indéniablement un actif clé, cette dépendance soulève des questions sur la capacité de Merck à faire progresser ses segments non-oncologiques avant la perte d’exclusivité de Keytruda en 2028.
Les défis concurrentiels s’accumulent. Les inhibiteurs dual PD-1/VEGF, comme $10 SMMT( ivonescimab de Summit Therapeutics, ciblent plusieurs voies simultanément, répondant aux limitations des thérapies à mécanisme unique comme Keytruda. Une étude de phase III en Chine a démontré la supériorité d’ivonescimab face à Keytruda dans les cas de NSCLC localement avancé ou métastatique. Summit prévoit qu’ivonescimab pourrait s’établir comme la nouvelle norme de soins dans plusieurs applications du NSCLC.
Merck développe également son propre inhibiteur PD-1/VEGF pour faire face à cette évolution concurrentielle. De plus, Pfizer a obtenu les droits exclusifs mondiaux hors Chine pour SSGJ-707, un autre inhibiteur dual PD-1/VEGF licencié auprès de 3SBio en Chine, fragmentant encore davantage le paysage concurrentiel.
Indicateurs de valorisation et mouvements des estimations
Depuis le début de l’année, les actions MRK ont diminué de 0,5 %, sous-performant la progression de 14,1 % de l’industrie pharmaceutique. L’action a également été en retrait par rapport à son secteur et au S&P 500.
Du point de vue de la valorisation, Merck offre un prix relatif attractif. Avec un ratio cours/bénéfice attendu de 11,21, il se négocie bien en dessous de la moyenne sectorielle de 16,68 et de sa médiane sur cinq ans de 12,52, ce qui suggère une possible sous-évaluation par rapport à ses pairs.
Les estimations des analystes pour le bénéfice 2025 ont légèrement augmenté, passant de 8,94 $ à 8,98 $ par action au cours des 60 derniers jours. Cependant, celles pour 2026 ont diminué, passant de 9,54 $ à 8,81 $ par action, indiquant une certaine détérioration des attentes à plus long terme.
La voie prudente à suivre
Merck détient l’un des médicaments les plus rentables de l’industrie pharmaceutique, générant des revenus annuels de plusieurs milliards de dollars. Bien que Keytruda fasse face à l’expiration de son brevet en 2028, ses ventes devraient rester robustes jusqu’à cette échéance.
Capvaxive et Winrevair ont été lancés avec succès, avec un potentiel de revenus significatif à venir. L’approbation de Keytruda Qlex atténue certains effets négatifs liés à la perte d’exclusivité en 2028. Des acquisitions récentes comme Ohtuvayre positionnent l’entreprise pour combler le potentiel de revenus créé par la transition de Keytruda.
La division Santé Animale contribue également de manière importante à la croissance du chiffre d’affaires grâce à des taux de croissance supérieurs au marché.
Cependant, des obstacles importants subsistent. Les difficultés de Gardasil en Chine, le potentiel de substitution de Keytruda par de nouvelles thérapies, et la pression des génériques sur les produits historiques compliquent le tableau. Ces défis soulèvent légitimement des questions sur la capacité de Merck à exécuter efficacement durant la période critique de déclin de brevet de Keytruda.
Malgré une force technique récente et une valorisation attrayante, une approche prudente semble justifiée. Attendre des preuves plus concrètes d’une dynamique de croissance durable et d’une trajectoire de rentabilité paraît judicieux. Il est conseillé aux observateurs de rester vigilants plutôt que de s’engager immédiatement, afin de laisser émerger une image plus claire de la pérennité à long terme. Merck maintient une note Zacks #3 )Hold( reflétant cette perspective équilibrée.