Pour ceux qui s'intéressent à la conception des échanges décentralisés, voici ce qui rend Lighter et Hyperliquid fondamentalement différents 🧵
La distinction clé ? Leur mécanisme de consensus.
Hyperliquid fonctionne sur le consensus social — les transactions sont validées lorsque 24 validateurs parviennent à un accord. C'est une approche simple basée sur un quorum où la participation du réseau détermine directement la finalité des transactions.
Lighter adopte une voie architecturale différente. Plutôt que de se reposer uniquement sur le consensus des validateurs, il met en œuvre une source alternative de vérité pour le règlement des transactions.
Les deux visent à résoudre le casse-tête du débit et de la décentralisation, mais à travers des conceptions contrastées. L'une privilégie la coordination des validateurs, l'autre explore des modèles de confiance alternatifs.
Si vous construisez ou analysez des protocoles DEX, comprendre ces différences mécaniques est crucial pour évaluer les compromis en matière de sécurité, de résistance à la censure et de scalabilité du réseau.
Cette page peut inclure du contenu de tiers fourni à des fins d'information uniquement. Gate ne garantit ni l'exactitude ni la validité de ces contenus, n’endosse pas les opinions exprimées, et ne fournit aucun conseil financier ou professionnel à travers ces informations. Voir la section Avertissement pour plus de détails.
12 J'aime
Récompense
12
7
Reposter
Partager
Commentaire
0/400
BTCWaveRider
· 12-29 14:13
Honnêtement, je n'avais pas compris dès le départ cette logique de consensus social d'Hyperliquid. Avec seulement 24 nœuds de validation, cela demande une confiance énorme.
L'idée de Lighter est plutôt intéressante, elle ne repose pas entièrement sur les nœuds de validation, mais utilise une logique de règlement alternative.
Les deux cherchent à résoudre le problème de débit, mais avec des approches opposées. Je suis surtout curieux de voir laquelle des deux, une fois en fonctionnement, sera la plus résistante à la censure.
Voir l'originalRépondre0
MergeConflict
· 12-28 04:30
Consensus social vs source de confiance alternative, on dirait que Lighter joue la carte de la diversion. Mais sérieusement, 24 nœuds de validation pour parler de consensus social, ce chiffre est vraiment trop faible.
Voir l'originalRépondre0
tx_pending_forever
· 12-27 19:50
Honnêtement, le plan des 24 validateurs d'hyperliquid ne semble pas si innovant, la confiance sociale c'est juste du vote déguisé.
Mais qu'est-ce que le modèle de confiance alternatif de lighter exactement ? Quelqu'un peut m'expliquer ?
Voir l'originalRépondre0
GhostAddressMiner
· 12-27 19:49
Ce système de consensus social... 24 nœuds de validation suffisent-ils à trancher ? Je voudrais plutôt voir la provenance des fonds derrière ces 24 adresses, je parie qu'au moins 8 d'entre elles sont contrôlées par le même groupe de détenteurs précoces.
Voir l'originalRépondre0
SoliditySurvivor
· 12-27 19:44
hyperliquid, la consensus des 24 validateurs semble plus proche d'une centralisation, tandis que chez lighter, ils mettent en place une source alternative de vérité. Je suis plutôt curieux de savoir comment cela est concrètement réalisé.
Voir l'originalRépondre0
ForkThisDAO
· 12-27 19:44
consensus social vs modèle de confiance alternatif... En clair, il s'agit toujours de parier sur la solidité de leur logique sous-jacente, n'est-ce pas ?
Voir l'originalRépondre0
airdrop_huntress
· 12-27 19:38
En réalité, il s'agit simplement d'une différence dans le nombre de validateurs. 24 nœuds de validation suffisent-ils vraiment pour garantir la sécurité ?
Pour ceux qui s'intéressent à la conception des échanges décentralisés, voici ce qui rend Lighter et Hyperliquid fondamentalement différents 🧵
La distinction clé ? Leur mécanisme de consensus.
Hyperliquid fonctionne sur le consensus social — les transactions sont validées lorsque 24 validateurs parviennent à un accord. C'est une approche simple basée sur un quorum où la participation du réseau détermine directement la finalité des transactions.
Lighter adopte une voie architecturale différente. Plutôt que de se reposer uniquement sur le consensus des validateurs, il met en œuvre une source alternative de vérité pour le règlement des transactions.
Les deux visent à résoudre le casse-tête du débit et de la décentralisation, mais à travers des conceptions contrastées. L'une privilégie la coordination des validateurs, l'autre explore des modèles de confiance alternatifs.
Si vous construisez ou analysez des protocoles DEX, comprendre ces différences mécaniques est crucial pour évaluer les compromis en matière de sécurité, de résistance à la censure et de scalabilité du réseau.